Tu l’auras compris cher lecteur, ces temps-ci Radio Campus Clermont-Ferrand occupe pas mal de mon quotidien extra-professionnel. L’année dernière, l’émission science alors ! était le lien entre mon activité universitaire et radiophonique. Cette année, j’ai d’abord développé l’axe partenariat, avec l’encadrement de projets étudiants pour la radio. Mais j’aime l’antenne, et parler de sciences au micro de la radio me manquait. C’est donc avec joie que j’ai accepté la proposition de Thibaut de faire une chronique une fois toutes les deux semaines.
J’ai réalisé ma chronique zéro pendant la matinale bénévole il y a deux semaines, puis cette semaine j’ai pris le micro pour la première officielle. Au menu de ces deux émissions : la loi de Benford, puis un peu de l’histoire de pi. Vous pouvez les écouter sur mixcloud, ou juste ici :
La loi de Benford by Jean-Marie Favreau on Mixcloud
Pi by Jean-Marie Favreau on Mixcloud
Dans le premier épisode officiel de cette chronique, consacré à pi, j’ai proposé un petit jeu aux autres chroniqueurs, parlé un peu d’histoire et de culture liée à ce nombre, puis fini par une proposition de travaux pratiques. Au passage, merci à Alice pour le générique de cette chronique !
J’espère affiner au fil du temps le format et la structure du contenu. N’hésite donc pas, cher lecteur, à me faire des suggestions pour améliorer tout ça. Et si tu as aussi quelques idées de sujets facilement présentables à l’antenne pour un public non scientifique, alors je serai ravi de lire tes propositions.
Une diction moins rapide peut-être ? Parce que bon quand on est pas du métier on a un peu de mal à suivre. Après dans l’ensemble c’est assez poétique, mais c’est vrai que le générique y est pour beaucoup. Bref bravo ! Encoooore !
Alors là, bravo JM !
C’est toujours avec plaisir que je lis tes articles, et là : que du bonheur à t’écouter parler mathématiques…
Une petite question cependant, tu avais préparé par écrit ta chronique ?
Au passage bravo à Alice pour le générique…
Merci pour vos retours !
Promis, j’essayerai de parler moins rapidement, c’est souvent un de mes défauts à l’antenne. Pour ce genre de chronique, on a souvent l’habitude de tout écrire. Et là effectivement, j’ai écris mon texte. Ensuite, il m’arrive de prendre quelques libertés avec quand je l’interprète, mais dans l’ensemble, la trame, et mêmes les emplacements des répliques du journaliste sont planifiées pour être sûr de garder un ensemble cohérent et dynamique (enfin ça c’est la théorie).