Londres, été 2009

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J’ai pas­sé cet été deux mois à Londres, à tra­vailler au dépar­te­ment d’in­for­ma­tique du Queen Mary Col­lege. Outre les moments pro­fes­sion­nels pas­sion­nants que j’y ai pas­sé (nous avons en effet explo­ré une piste inté­res­sante pour la recons­truc­tion non rigide de scènes 3D), j’ai pu appré­cier cette ville qui m’a­vait déjà fait rêver adolescent.

J’ai ain­si pas­sé pas mal de temps dans mon quar­tier, Mile End, situé à l’est de Londres, le long du Regent’s canal, près du Vic­to­ria park. J’ai aus­si traî­né mes bas­kets du côté de Soho, de Cam­den, et ai par­cou­ru le centre à pied pen­dant de longues heures, au hasard des rues, comme j’aime décou­vrir les villes.

J’ai aus­si pro­fi­té d’une semaine de break pro­fes­sion­nel pour faire le tou­riste : depuis la relève de la garde mon­tée jus­qu’au Tate Modern, en pas­sant par les dif­fé­rents monu­ments gothiques à l’al­lure superbe, qui rendent la ville inoubliable.

Défi­ni­ti­ve­ment, c’est cette taille de ville qui me plaît, où chaque quar­tier est un petit vil­lage, avec son rythme, ses habi­tudes et habi­tués, ses lieux incon­tour­nables, etc. On pro­fite en plus d’un réseau de trans­port en com­mun assez effi­cace, bref vrai­ment chouette.

6 thoughts on “Londres, été 2009”

  1. Ce que j’aime à Cam­den, c’est le côté sur­réa­liste du lieu qu’est le mar­ché, tel­le­ment gigan­tesque, avec une belle his­toire, et qui conti­nue à vivre, à la manière d’un souk.

  2. C’est vrai, mais il faut avoir le goût de l’ex­trême, aus­si bien pour le kitch, que pour la culture under­ground un peu commerciale.

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