Je suis l’heureux papa depuis quelques temps d’une petite fille charmante. Je ne vis pas avec elle, mais j’ai la chance de la voir très souvent.
Comme beaucoup de pères dans ma situation, j’ai parfois recherché des conseils et des soutiens autour de moi, dans les moments de doute, quand la distance n’est pas simple à gérer, quand le futur inquiète. J’ai la chance d’avoir des amis attentifs, et une famille qui m’a beaucoup aidé. J’ai aussi surfé sur le net pour trouver d’autres pères comme moi. On trouve plein de choses différentes sur la toile, des bonnes et des moins bonnes.
Ce billet est consacré à l’association SOS Papa, qui fait partie des moins bonnes choses.
Lorsqu’on visite pour la première fois leur site, lorsqu’on lit les témoignages d’un oeil attentif mais rapide, et qu’on a encore au coeur la douleur d’un père loin de ses enfants, je suis sûr qu’on peut se laisser embobiner. Leurs textes sont travaillés pour ne pas choquer, leurs forums sont surveillés pour qu’aucun propos ne puisse être pris contre eux, leurs communications s’affinent au fil des mois (certains propos un peu justes ont semble-t-il disparu de leurs pages).
Mais il n’empêche, malgré tout le mal qu’ils se donnent pour paraitre politiquement correct, malgré l’avis favorable de l’UNAF à leur égard, leur côté malsain n’arrive pas à disparaitre. En voici quelques illustrations.
Manipulation des chiffres
Lorsqu’un chiffre officiel sort, sur le nombre d’enfants voyant leur père régulièrement, sur le nombre d’enfants passant noël loin de leur père, ou sur tout autre chiffre lié à la paternité, l’association reprend rapidement ce chiffre et le brandit comme une preuve supplémentaire du calvaire des pères. Souvent dans ce genre de propos, on remarque les jeux de pourcentages : le chiffre est donné sur la population des familles séparées, il est ramené à la population globale. On remarque aussi des incohérences beaucoup plus grossières : le chiffre de papas qui passeront noël sans leur enfant est suppérieur au nombre de parents séparés…
Bref, on sent la bidouille des chiffres, qu’ils se font fort de porter en étandard, ou de taire quand définitivement aucune bidouille n’est possible.
Citation d’un pédopsychiatre contesté
Parmi les spécialistes souvent cités, G. Neyrand, fort de son appartenance au comité d’honneur de l’association, voit ses thèses reprises et soutenues. Outre son discours sur la garde alternée, régulièrement montrée du doigt par de nombreuses associations de défense des enfants et par ses confrères, ce sociologue partage certaines idées avec celles de Richard Gardner et Ralph Underwager, qui défendent des thèses pro-pédocriminelles.
Prises de position au relan de paternalisme malsain
Bien qu’ils se défendent d’être paternalistes (rôle du père chef de famille, qui décide pour les autres, réduction du rôle de la mère, patriarcat oppressant, etc), les affirmations sur le rôle du père au fil de leurs pages est nettement orienté dans cette direction. le rôle de la mère y est toujours minimisé. On peut imaginer qu’il s’agisse d’une position extrêmiste visant à lutter contre les positions extrêmes inverses, mais ces positions sont globalement malvenues, et permettent certainement aux hommes qui se sentent lèsés par une séparation brutale de trouver une justification à leurs revendications personnelles et nombrilistes.
Pour ces pères, que leur enfant porte leur nom est crucial (ils conseillent de reconnaitre leur enfant avant la mère, pour assurer le nom de leur progéniture), ils vont également jusqu’à conseiller de kidnapper les enfants avant un jugement, dans le cas où la mère est partie avec les enfants (Toutefois, pour un jeune enfant, le (la) magistrat(e) pourra vous reprocher ensuite d’avoir osé retirer l’enfant
sic).
La violence conjugale des hommes est même partiellement excusée, la nature ayant dotés [les hommes] d’une musculature et d’un système hormonal qui leur donnent une supériorité physique
. Tout est bon à prendre pour défendre l’homme et son omniprésence écrasante au sein de la famille.
Dans tout leur discours, la diabolisation de la mère est omniprésente. La mère est celle qui part avec les enfants, enlève au pauvre père qui n’a rien fait sa progéniture. Le parti-pris non constructif est constant, la remise en question n’a jamais lieu, on ne lit aucune modération dans les propos.
Ils font le choix de défendre l’idée de garde alternée coûte que coûte, à tout âge, et sans envisager un choix réfléchi du mode de garde en fonction de la situation géographique, des besoins des enfants, de leur âge, etc. En présentant leur position comme moderne et visant l’égalité des deux parents, ils font disparaitre complètement l’intérêt des enfants.
On note également que l’argent est une préoccupation essentielle de ces pères : leurs forums regorgent de méthodes pour payer moins de pension à la mère, leurs pages principales militent pour une suppression de la nécessité de payer une pension alimentaire en cas de suppression d’autorité parentale. Après leur petite personne de père, ces hommes défendent leur argent… Vient en dernier l’intérêt des enfants, qu’on pourrait presque croire cité comme prétexte au reste du discours.
Petite odeur de fascisme
Pour conclure, je trouve que ce site suinte le Travail, Famille, Patrie, et qu’il est important d’y prêter attention : il s’adresse à des personnes (hommes en pleine séparation d’avec leur conjoint, la plupart du temps ayant de jeunes enfants) qui sont fragiles. Le site ne fait qu’attiser un malaise, et en profite pour transmettre leurs idées assez limite. Berf, cette association n’aide en rien les papas et leur famille. Pire, il enferme les pères dans une attitude revancharde, où le principe est de dénoncer et de tirer les draps à soi au lieu de discuter. Au final, les enfants en sont probablement les premiers à en pâtir.
Leur action de lobbying de plus en plus active auprès d’une presse vérifiant peu ses sources, ainsi qu’auprès d’hommes politiques peu regardant des motivations profondes des associations qu’ils consultent n’est pas faite pour rassurer.
Notes et liens
- Je vous invite à signer la pétition qui dénonce la récente reconnaissance par l’UNAF de SOS Papa
- Les associations homosexuelles aussi en lutte contre SOS Papa
- Un site anti-patriarcat à visiter, pour se tenir informé sur ces prises de positions patriarcales type SOS Papa
- Un dossier très complet sur le masculinisme sur le site d’arte
- N’ayant aucune envie de faciliter le référencement de ce site, aucun lien vers leur site n’est présent dans ce billet. Je ne vous demande pas de me croire sur parole, mais je concidère que moins on leur fait de la pub, mieux c’est.
Ce billet a été l’objet d’une mise à jour suite à une erreur d’interprétation présente dans la version originale
Edit : Après un an, un nouveau billet vient compléter celui-ci, annonçant la création d’un collectif pour la défense des enfants dans ces conflits : sos enfance partagée.
Mme Gettliffe n’a pas fui le Canada pour protéger ses enfants de l’Eglise Internationale du Christ comme elle le prétend, mais pour poursuivre des études universitaires à Lyon. Comme elle était en instance de séparation d’avec son mari, le déplacement des enfants devait faire l’objet d’un consensus entre les deux parents. Le père a refusé qu’ils accompagnent leur mère à 13.500 km de lui, car l’exercice de son droit de visite serait impossible, pendant les dix mois du séjour en France. Le litige a été porté devant une cour de justice qui, après expertise, a conclu qu’un tel voyage ne correspondait pas à l’intérêt supérieur des enfants, et l’a donc interdit. Aucune mention à une éventuelle dangerosité de l’Eglise n’avait alors été évoquée par la mère.
Comme cette décision contrariait ses projets, Mme Gettliffe est passée outre et est partie quand même le 27/08/01, ce qui lui a valu un mandat d’arrêt local pour parjure, délivré le mois suivant. Pour tenter de justifier ce déplacement illicite, elle a utilisé habilement le fait que l’église de son mari a été considérée comme secte par le rapport parlementaire français Gest-Guyard, lequel n’a d’ailleurs jamais eu force de loi et est mis au rebut depuis quatre ans par les autorités françaises.
Les tribunaux français ont d’ailleurs ordonné le renvoi des enfants au Canada, puisqu’aucune preuve de leur mise en danger par la prétendue secte n’avait été apportée par la mère. Pour éviter de priver les enfants de leur mère, le mandat d’arrêt a été levé en septembre 2004. Le problème c’est que Mme Gettliffe, bénéficiant des réseaux politiques (ou autres) de son nouveau concubin, n’est pas rentrée au Canada avec ses gosses et a mené son ex en bateau pendant 18 mois avec une médiation bidon.
Il faut savoir que depuis août 2001, M. Grant (le père) n’a vu ses enfants que 5 jours, en juin 2005.
Le 10 avril, Mme Gettliffe ne s’est pas rendue au Canada pour y signer un accord avec son ex, comme le prétendent ses proches : il n’est heureusement pas nécessaire de faire d’aussi longs voyages pour finaliser une médiation internationale. En réalité, elle est allée là-bas pour soutenir sa thèse de doctorat le 12 avril.
Dans la série des mensonges dont on abreuve l’opinion française, on peut également citer pêle-mêle : le mandat d’arrêt international qui n’a jamais existé, l’importance et l’influence de la « secte » sur la justice canadienne (170 membres pour toute la Colombie Britannique), la délivrance d’un nouveau mandat d’arrêt 36 heures après l’arrestation, la rédaction de l’acte d’accusation par un procureur parent de M. GRANT, la propension de Mme Gettliffe aux grossesses difficiles, le respect des droits de visites du père, etc… tout cela est parfaitement faux !
S’il faut se scandaliser dans cette affaire c’est :
– de la façon dont les enfants sont instrumentalisés par l’entourage de leur mère ;
– de la bêtise avec laquelle les médias répètent les mensonges de ces gens sans se donner la peine de la plus élémentaire vérification ;
– de la lenteur de la justice française à appliquer la convention de La Haye (qui ne concerne pas seulement les enlèvements commis par les pères nord-africains comme certains semblent le croire ici) ;
– des passes-droits dont a bénéficié jusqu’à présent cette mère rapteuse.
Réfléchissez‑y bien avant de vous faire manipuler
Tout d’abord, je n’accepterais pas que des propos pro-secte soient tenus sur mon site internet.
Ceci étant dit, pour répondre à vos différentes remarques, je viens de réaliser une bibliographie complète sur le sujet, que vous trouverez à l’adresse suivante :
http://jmtrivial.info/wiki/wakka.php?wiki=InformationsNathalieGettliffe
Comme vous le constaterez, la secte en question est extrèmement dangereuse, est reconnue comme telle par l’État français depuis 1996. Le père des enfants ne cherche pas à cacher les liens avec cette secte (vous ne pouvez donc encore une fois vous retrancher derrière un quelconque argument du type « c’est le point de vue de Nathalie, propagande, etc »). Dès 2004 (les premiers articles qu’on trouve sur internet à ce sujet), il est dit que Nathalie a fuit cette secte. Si vous affirmez le contraire, il ne s’agit que de votre parole contre la sienne (tous les observateurs s’accordent sur ce point de vue).
D’autre part, comme vous le constaterez, elle n’a pu fuir le Canada « pour poursuivre des études universitaires à Lyon » car elle avait fini ses cours de doctorat, qu’elle a réalisé au Canada…
La décision du tribunal français (voir ce point juridique) a été pour le moins non objective, les juges privadois n’ont pas retenu l’article 13 de la convention [de la Haye]. Ils s’appuient sur un rapport très favorable au père des enfants, effectué par un psychothérapeute dont l’impartialité est plus que douteuse puisque les deux hommes se connaissaient déjà. Nous tenons ce rapport médico-psychologique pour modèle de certificat de complaisance.. On ne peut pas dire que ce soit un exemple d’impartialité, et l’aspect international s’en mèlant, on ne peut que reprocher à la France de ne pas avoir assumé sa position quant au statut de secte de cette église, en préférant ménager ses relations internationales.
Enfin, on peut craindre le pire, car leur retour au Canada en juillet 2006, les enfants « auraient été confiés par leur père à un psychologue « condamné à 16 reprises, notamment pour cruauté envers des enfants »». Certes c’est du conditionnel, mais jamais (encore une fois) cela n’a été nié par le principal intéressé. Les enfants n’ont d’ailleurs depuis plus la possibilité de voir Nathalie, car leur père ne les conduit plus depuis fin juillet, mettant fin aux visites…
Je n’accepterais donc pas que vous continuiez à tenir de tels propos ici. Affirmer en l’air sans preuve est caractéristique de votre mauvaise foi et d’une médiocrité similaire à la majeur partie des commentaires que vous avez pu laisser ici.
« …Francis Gruzelle. Il a affirmé que les deux enfants, depuis leur retour au Canada, auraient été confiés par leur père à un psychologue « condamné à 16 reprises, notamment pour cruauté envers des enfants ».
SVP : des preuves ! (nom du psy, articles de journaux…)
Bonjour « papa trés seul ! »
Pour répondre à vos messages :
D’après le dictionnaire Trésor de la langue française, « toxique » signifie « Ce qui agit négativement sur l’individu, son psychisme ou son physique. » Maintenant que vous connaissez la définition du mot toxique, vous voyez mieux la définition du terme « parent toxique » ? (votre commentaire n° 46)
Pour le genre « guerrier » des mots (commentaire 47), sachez que « arme » ne signifie pas seulement un élément d’équipement de combat meurtrier (ce à quoi vous pensez ?), mais également de « moyens pour atteindre le but désiré ». C’est bien le cas ici, le « SAP » est un « moyen d’atteindre son but » de plus pour un parent toxique.
Et non, nous ne parlons pas juste du non respect des DVH, nous parlons « SAP » et toxicité de parent. Ca ne se résume pas en non respect des DVH.
Quand aux exemples que vous prenez, il y a le cas de Nathalie Getliffe, JM vous en a largement parlé (non moi notez, et répondez à la bonne personne par la suite svp).
Pour répondre à « Sans objet », c’est le Nouvel Obs qui a publié les informations concernant le psychologue « condamné à 16 reprises, notamment pour cruauté envers des enfants »
Le nouvel a publié :
« Francis Gruzelle a affirmé que les deux enfants, depuis leur retour au Canada, auraient été confiés par leur père à un psychologue « condamné à 16 reprises, notamment pour cruauté envers des enfants. »
et non pas :
Le Nouvel Obs a publié les informations concernant le psychologue « condamné à 16 reprises, notamment pour cruauté envers des enfants. »
Qui manipule qui…
Comme vous l’avez remarqué, j’ai également utilisé le conditionnel. A l’heure où j’écris ces mots, aucun démenti n’a été publié…
ceux qui tentent la manipulation se contentent des « on sait que » des « c’est comme ça » des chiffres complètement sortis de leurs contextes etc… relisez les commentaires, vous retrouverez facilement les manipulateurs
pour le psy, vous vouliez l’origine de l’info, vous l’avez. Quand au conditionnel, il porte sur le recours plausible (non démenti) par le père, non sur les condamnations de ce psy. Il a d’ailleurs été utilisé dans le message d’origine de JM (qui l’a souligné) et repris par vous. Quand à moi, je ne parle pas du père mais juste du psy, donc pas de conditionnel.
A propos du SAP (syndrome d’aliénation parentale)
le syndrome c’est un « ensemble de signes, de symptômes, de modifications morphologiques, fonctionnelles ou biochimiques de l’organisme, d’apparence parfois disparate mais formant une entité reconnaissable qui, sans présager obligatoirement des causes de ces manifestations, permettent d’orienter le diagnostic. »
Et c’est bien là le problème, avec ce prétendu « syndrôme », le doute devient difficile.
Un enfant qui rejete l’un de ses parent, qui l’accuse de maux, possède cet ensemble de symptômes, et donc, on oriente le « diagnostic » vers le « SAP ». C’est nier à l’origine la possibilité d’abus, de violences.
Rejeter l’invention du « SAP », appeler à la prudence concernant ce prétendu syndrôme, ce n’est nullement nier la possibilité de manipulations de la part d’un parent, mais seulement rappeler que les parents abuseurs, les parents violents existent, et qu’AUCUNE de ces deux hypothèses (manipulation ou réelle violence) n’est à privilégier sur l’autre, et ce quelque soit le sexe du parent accusé.
Concernant vos dérives de propos sur l’enlèvement d’enfant à l’étranger (pourquoi en arriver à ça ?), qu’il soit le fait de pères ou de mères, personne n’a ici (du moins de mémoire) prétendu que c’était une bonne chose. Si l’exemple que vous avez pris (Nathalie Getliffe) divise tant les opinions, c’est tout simplement parce qu’il n’y a pas qu’une question de violation de décision de justice, mais également une histoire de secte. Et c’est bien là que les opinions divergent. Trouvez une histoire d’enlèvement d’enfant par son père ou par sa mère sans violences, sans sectes, sans abus sexuel et nous serons tous d’accord pour dire que c’est inadmissible.
Cela dit, ça ne change rien sur le discours paternaliste et sexiste de l’asso dont il est fait mention à l’origine de ce billet.
Bonjour à tous,
Je suis désolé de vous décevoir, mais je lus et relus cette page web sur le site de SOS Papa et elle me semble très bien ! Pouvez-vous me dire ce que vous reprochez à ces écrits ?
http://www.sos-papa.net/pages/synthese.htm
Bonjour à tous,
Je suis désolé de vous décevoir, mais j’ai lu et relu cette page web sur le site de SOS Papa et elle me semble très bien ! Pouvez-vous me dire ce que vous reprochez à ces écrits ?
http://www.sos-papa.net/pages/synthese.htm
Bonjour tout le monde,
Tout extrémisme, tout jugement sans recherche et sans nuance sont dangereux, l’égalitarisme poussé à son paroxysme est dangereux (d’ailleurs tout ce qui ce termine par isme : totalitarisme, communautarisme..). C’est ignorer que chaque individu n’a pas les même besoins que celà soit au niveau matériel (certains ont beaucoup d’appétit d’autres non.…), au niveau affectif etc… (les besoins d’un enfant vis à vis de ses 2 parents sont différents tant en qualité qu’en quantité). Toutes ces raisons font d’SOS papa une association dangereuse qui met tout le monde dans le même bain (les mère les méchantes captatrices et les pères les pauvres caliméro). C’est vrai que les enfants ont besoin de leurs 2 parents. Mais pas de la même manière et faire du 50/50 systématique sans se préoccuper de la vie réelle des familles avant la séparation est, à mon sens, une aberration. L’alternance c’est bien. Ce qui est choquant c’est ce « toi, la mère, tu n’aura pas un iota de plus que moi le père. Et puis comme j’ai les enfants autant que toi tu n’auras pas de pension alimentaire même si je gagne le double que toi. » C’est cet esprit infantile violent et agressif qui me me fait peur et donne une piètre image de certains hommes et certains pères.
Bonjour « Papa très seul ! »
Je releve déjà un point, dans leurs dires, qui prouve leur mauvaise foi.
En effet, ce point totalement faux, certainement non vérifié par leur part lors de leur diffusion de cette page, a déjà fait sur leur forum l’objet de discussions pour en montrer l’absurdité. Je constate que malgré tout ce point reste identique à lui même.
Il a pour seul but de fustiger les mères, de les rendre coupables de fait dont elles ne sont pas responsables.
Puisque c’est un copyright, je ne peut recopier ce point ici, mais c’est dès les premiers paragraphes, sur l’API.
D’après eux, le montant de l’API correspondrait environ au montant du SMIC (sic). Le SMIC correspond à 151.67h * 6.81€ = 1030 € net mensuel.
Quand à l’API, il s’élève à (551,81–50 de « forfait logement » = )500€ si la femme est enceinte (moitié du SMIC)
il s’élève à (735,75–100 de forfait logement = )636 € si le parent a un enfant (60% du SMIC)
il s’élève à (735.75+183,94–125€ de forfait logement =) 795€ si le parent à deux enfants (77% du SMIC). dès lors, on arrive qu’à 3/4 du SMIC (ce qui est environ pareil ?), alors qu’à partir de là, les allocations familiales sont accordées au familles touchant le SMIC mais non à celles touchant les API.
Bref, ensuite, ils prétendent que cette allocation voisine du SMIC est accordé à la mère, ce qui est faux, puisqu’elle est accordé à tout parent isolé, quelque soit son sexe (on a tendance à la généralisation facile chez les sos papa !)
D’autre part, ils parlent de pratiques frauduleuses à l’initiative de la mère (ben voyons, encore une accusation gratuite). D’après la CAF, pour toucher les API, il faut vivre seul, dès lors que le parent vit en couple, que ce soit avec l’autre parent ou non, il n’y a plus droit à l’API, et c’est la seul condition. Rien à voir donc avec ce que sos papa prétend. Sur ce sujet, j’aurais plutôt tendance à croire la CAF…
Tout de suite après, ils prétendent que la loi fait obstacle à la paternité ! Dès lors qu’un homme peut aller dans n’importe quelle mairie pour reconnaitre n’importe quel enfant et sans avoir rien d’autre à montrer que sa pièce d’identité, où est l’obstacle ? La pièce d’identité est gratuite en France depuis une dizaine d’années, donc l’obstacle n’est pas financier…
Pour l’accouchement sous X, ils doivent revoir leurs copies, ce n’est plus le cas…
Quand au père naturel qui ne vivait pas avec la mère, il ne perdait pas tous ses droits comme le prétend sos papa, mais uniquement l’autorité parentale conjointe.
Quand à leur selon SOS PAPA (donc selon eux mêmes) blablabla… n’a que la valeur que l’on veut bien leur accorder, et leurs taux alors cités ne sont que de leur propre initiative dont on ne connait pas l’origine.
Ils ne donnent qu’une seule cause possible de la non demande de la garde des enfants par les pères, en éliminant directement toutes les autres, en les niant, car elles ne servent pas ou moins leur cause. Pratique, facile…
Je note aussi, dans la suite de leurs écrits, qu’il définissent l’attachement naturel d’une mère pour son enfant comme viscéral et immature… Ah ? Et pourquoi cela ? Qu’est ce qui leur permet d’affirmer de telles choses ? Ils affirment également se mettre dans la tête des majorités de pères en disant ce qu’ils sont censés penser. Extrapolation ni plus ni moins, mais la phrase est bien tournée, elle fait encore passer les mères pour des femmes immatures ayant un grain, et mettant tout en oeuvre pour écarter le père…
Sur leur paragraphe concernant la GA, ils se contentent encore une fois de fustiger les mères en les accusant de provoquer les conflits (ben voyons, tout le monde sait bien que les femmes sont seules détentrices de l’art du conflit…). Il est aussi fait mention de « démménagement abusif ». Qu’est ce donc pour eux un démménagement abusif ? Aucune précision bien entendu…
Encore et toujours des extrapolations par la suite sur ce qu’est censé penser un père et sur son intérêt pour l’enfant (qu’il ne définissent cependant pas en se contentant de dire que l’ordonnace est contraire à ce point là)
Ils généralisent également les compte rendus des expertises psy et sociales en disant qu’elles sont en faveur des mères et apparemment sans raisons valables… Pour appuyer leurs dires, ils prennent des morceaux (et encore on considèrera que ces passages sont vrais) de compte rendus. Auraient il oublier que dans leurs propres archives, ils ont des compte rendus allant dans l’autre sens ? (http://www.sospapa.asso.fr/docs/... )
Sur ce qui concerne les non représentation d’enfants, ainsi que les non paiements de pension alimentaires, encore une fois, il y a généralisation. Ce serait les mères et uniquement elles qui ne présenteraient pas l’enfant, et les pauvres pères et uniquement eux qui finiraient en prison dès qu’il ne donneraient pas l’argent dû à leurs enfants. Les NPE sont pourtant le fait de mères mais aussi de pères. Si dans la majorité des cas, les visites se font à l’amiable, avec des arrangements, dans d’autres cas, il y a des conflits, et parfois il y a des NPE qui peuvent être occasionnel, une fois, ou sur une durée longue, plusieurs mois… c’est condamnable, personne ne dira le contraire, mais là ou il y a discours sexiste, c’est bien dans leur généralisation. Et puis les pères qui ne voient plus leur enfants pendant des années malgré de multiples plaintes pour NPE sont déjà pas si courant que ça, alors des pères qui en plus finissent en prison pour avoir arreter la PA suite à ces années… qu’elle est leur notion du « pas rare » ?
Et puis, autre chose de choquante… Ils ne cessent de parler des droits du père et des droits de l’enfant à conserver ses deux parents. A ce propos, où sont leurs propositions pour OBLIGER les pères à respecter leurs DEVOIRS ? Où sont les propositions de sos papa pour qu’un père soit tenu d’entretenir un lien avec son enfant ? Ah non, les droits de l’enfant oui, à condition qu’ils ne deviennent pas des devoirs pour les pères…
la découverte de votre site est comme un grand rayon de soleil : vous mettez en évidence le poids des lobbings qui prennent nos enfants en otage pour défendre une cause sexiste ( masculinisme ) qui sans doute doit rapporter beaucoup d’argent ( à qui ? ). en effet lorsqu’on tombe dans leur piège, il faut pouvoir se défendre et là des années de procédures interminables où l’injustice nous condamne à nous taire : alors on paye pour continuer dans l’espoir qu’un jour .… .Cela fait du bien de vous rencontrer quand on survit face au lynchage de la secte SOS PAPA. Tout ce que vous soutenez est vrai et nous sommes nombreux à souhaiter le démantèlement de « ces trafiques d’enfants » : que font les associations de lutte contre la maltraitance aux enfants ? que font les politiques avec l’application des droits des enfants ? comment ce lobbing est-il soutenu au point de rebondir et d’éradiquer l’entourage des enfants qui tente d’installer un dialogue et oeuvrer pour leur bien-être.
Je continuerai de vous lire???
http://www.mesopinions.com/detail-petition.php?ID_PETITION=8174bae96f74bd5bdc355e53913abd3a
http://users.tvcablenet.be/personal/tvcn23295/index.html
Soyons sérieux ! Que penser de ces personnes d’ SOS PAPA qui recrutent en proposant sur leur site des conseils en stratégie de divorce ?
Certains, ‘très bien’conseillés échafaudent alors un ‘‘authentique’’ dossier à charge.
Etude et mise en place d’un plan d’actions à mener.
Etablissement de courriers vous étant adressé et qui serviront de ‘‘ preuves’’ contre vous devant le JAF. Des prétextes soigneusement choisis seront alors invoqués pour vous faire passer pour le mauvais sujet… N’oubliez pas ils ont fait leurs preuves…
S’assurer les services d’un détective privé (filatures, écoutes téléphonique, pose de micros à votre domicile….)
Etablissement d’attestations de complaisance.
Quelle véracité apporter à ces attestations établies par les parties dans le cadre d’un divorce ?
Poudre aux yeux, jetée à la face de la justice.
je viens de lire l’ensemble des échanges.
Je constate que les donneurs de leçons sont tous, aussi doués, quelque soit leur camp.
Vous avez chacun un point de vue très partial, et malgré tous vos efforts d’objectivité, les jeux sont faits comme on dit.
il s’agit de défendre sa théorie, de l’argumenter et de l’illustrer en choississant ses exemples.
Le nec plus ultra étant de ridiculiser le parti-pris de l’exemple du contradicteur, ou d’invoquer des situations très graves et la plupart du temps exeptionnelle.
je voulais juste savoir, s’il vous est envisageable, qu’un père qui s’est occupé de ses enfants de manière tout à fait conforme, puisse avoir la garde de ses enfants.
la question est simple, je demande juste votre jugement.
Bonsoir père divorcé(e?)
Je pense que chaque situation est unique, et qu’il n’y a pas de généralité à faire sur les divorces, et les gardes d’enfants.
Après pour votre question , tout dépend de ce que vous appelez « tout à fait conforme » et « puisse avoir la garde de ses enfants » (là, je vais admettre que vous vouliez dire résidence au domicile du père avec DVH classique pour la mère). D’après le rapport de l’INSEE en 1999 « Tandis que les femmes accordent chaque semaine 26 h à leurs enfants, les hommes leur consacrent 13h. », donc si c’est votre vision de la conformité, pour ma part je dirais non. Si votre vision du « conforme » est différente, alors je dirais peut être.
merci pour votre réponse Elise
Manifestement, la faille dans ma question est le mot « conforme ».
je suis d’accord avec vous sur le coté unique de chaque situation.
Cependant je peux poser la question de cette manière :
Est-il envisageable, qu’un père qui s’est occupé de ses enfants de manière tout à fait conforme (selon votre point de vue) , puisse avoir la garde de ses enfants ?
J’ai beau chercher, je ne vois pas de différence entre les deux manières de poser la question…
Papa très seul à père divorcée.
Elise t’as déjà répondu le lundi 18 septembre 2006 : « je dirais peut être. »
(peu et” ben que oui, peu et” ben que non)
Est-ce une réponse de Normand ou du sexime anti-homme ?
Vous avez le choix !
« Comment osons nous, tristes sires, nous croirent tout permis parce qu’un de nos tétards s’est miraculeusement posé sur la planète Mars ! »
Voilà une phrase d’une seconde mère française ayant, elle aussi, des difficultés avec la justice Canadienne et retenue au Canada contre sa volonté qui résume à elle seule la position des concepteurs de ce site.
Laissez tomber ! Ce site est un piège pour capter des internautes et leur éviter d’aller voir le vrai site : SOS Papa
Bonjour,
comment pouvez-vous affirmer que mon site est un « piège » alors que j’ai parlé dans ce billet de mon histoire, de ce que j’ai vécu avec ma fille, et des malhonnêtetés d’une association qui ment aux pères…
J’espère que d’autres pères suivront mon exemple, montrant ainsi que nous ne sommes pas tous des moutons bornés et hargneux…
« peut être » tout simplement parce qu’il y a bien d’autres éléments à prendre en compte me semble t’il, que la simple « conformité » du père…
Je n’exclue pas la possibilité qu’un père puisse avoir la garde de ses enfants (un exemple dans mon entourage où j’aurais confiée la garde au père : un couple où le père au chomage s’occupait de ses enfants tandis que la mère travaillait beaucoup – parce que c’était son désir. Les deux parents aimaient leurs enfants et s’en occupaient bien, pas de maltraitance, pas de violences conjugales, un cas « normal », « conforme ». La mère a eu la garde, et c’est empressée de se retrouver un bonhomme pour servir de « nounou »)
« papa très seul », « papa trés seul » et Co lisez bien ce que vous voulez lire. Et ce sont les autres que vous accusez de mauvaise foi !
Bonjour Elise,
pour reprendre l’exemple que vous donnez, il me semble que le problème est justement là. Il est anormalement trop dure pour un père de faire valoir auprès des JAF, son envie, sa possibilité, sa capacité et son droit d’assumer la garde de ses enfants, et en même temps trop facile pour une mère d’avoir la garde des ses enfants, parce que « c’est normal que la mère a la garde des enfants ».
Personnellement au moment de notre divorce, nous avons fait le choix d’une résidence alternée, qui, 2 ans plus tard, a été remise en cause par la mère d’une manière trop facile, sur une interprétation très simpliste de sa part et étayé par des attestations douteuses.
Suite à la procédure, la résidence alternée a été maintenue.
Cependant vous ne vous rendez pas compte à quel point, il a été difficile de de se faire entendre et comprendre. L’impression que j’ai, est que pour un père, il est anormal qu’il veuille et ensuite qu’il puisse avoir la garde de ses enfants. Cette démarche même, est sujet à suspicion. Nous devons prouver sans cesse notre capacité à s’occuper de nos enfants, et être extrèmement vigilant, car un rien peut être le pretexte à la remise en cause de ce mode de garde.
SOS PAPA est peut être une association dont les motivations sont suspectes.
Cependant, sans entrer dans une discussion sans fin, inutile et stérile, sur les motivations des « mauvais pères de SOS PAPA » et les motivations des « mauvaises mères contre SOS PAPA » (c’est de la provoc pas la peine de me répondre sur ce passage) , on peut aussi se poser cette question :
La différence dans le traitement judiciaire entre les pères et les mères ne nourrit-elle pas l’emergence, le développement et la reconnaissance d’une association comme SOS PAPA.
Bonjour
je n’ai pas osé poser la question de cette manière la 1ere fois.
Vu le peu de réponse, je me demande si la différence dans le traitement judiciaire entre les pères et les mères ne nourrit-elle pas l’emergence, le développement, la reconnaissance et la nécessité d’une association comme SOS PAPA.
Bonjour père divorcée.
J’avais commencé à préparer une réponse, puis me suis dit que tout le monde avait dû faire cette réflexion, et que donc il était inutile de la poster. Il semble que non.
Voici donc ce que je pense : le jour où les hommes occuperont dans la vie de la famille une part aussi importante (en temps quotidien) que les femmes, le jour où les hommes laisseront un peu aux femmes de la place dans la vie publique, alors on pourra certainement être moins catégorique… Mais voilà, l’homme tient à rouler en grosse voiture, à occuper une situation professionnelle « meilleure » que sa femme (en général il a fait plus d’études d’ailleurs), etc. Bref, il faut arrêter à un moment, et arrêter de vouloir le beurre et l’argent du beurre… Les volumes horaires indiqués par élise un peu plus haut illustrent clairement le fait que les hommes « en général » passent moins de temps que les femmes à s’occuper de leurs enfants.
Aussi, si on ne veut pas perturber la vie fragile des enfants, en général la garde de ces derniers sera attribuée à la mère. Mais cela n’empèche en rien les enfants de voir leur père il me semble…
Dans le cas d’une séparation, il faut forcément faire des compromis : tout le monde ne pourra pas se voir tout le temps. Et il est à mes yeux évident que le minimum de perturbation pour les enfants est un facteur qui passe avant l’égo des parents.
Bonjour JM
Vous ne répondez pas à ma question, et vous étayez de manière peu intéressante votre point de vue dans ce débat.
Manifestement d’après vous, je n’ai comme choix d’être uniquement un macho au volant de ma grosse voiture gagnant plus de fric que ma femme, qui peut s’estimer heureuse d’avoir un mec comme moi qui lui permet de vivre aussi bien.
A mon avis, la meilleure manière de lutter contre une discrimination sociale, quelqu’elle soit, n’est certainement pas en la discreditant de cette façon.
Je retire de mes favoris l’adresse de ce blog.
Je vous remercie, Elise, pour la pertinence et la qualité de vos remarques.
Décidément, les mères ne peuvent supporter l” égalité là où elles ont toujours eu la supériorité.
En ce qui concerne la payement des pensions alimentaires, les mères qui n” obtiennent pas la garde enragent toutes de devoir payer une pension alimentaire!!!tiens tiens bizarre !
La garde principale au père ou la garde alternée sont une garantie pour l” enfant de conserver un lien fort avec ses deux parents, ce qui est le plus important pour l” enfant.
Lorsque les mères trouvent (qui cherche trouve) des défauts chez le pères, leur objectif n” est jamais d” obtenir que le père puisse corriger ses défauts mais d” exploiter les défauts trouvés pour éloigner le père et obtenir de l” argent.
Je suis un vieux papa de 47 ans qui lutte pour que ses fils et ses filles n” aient pas à se livrer un combat acharné pour l” obtention d” un droit de garde ou pour obtenir un rapport financier équilibré.
Il faut abolir le droit de garde et les pensions alimentaires.
Donc garde partagée et moyens partagés ; la paix des parents est le plus grand gage de bien être pour les enfants.
Le parent qui réclame la garde des enfants et l” argent adopte un comportement égoiste suffisant et prétentieux (signe évident d” aliénation parentale) et devrait donc inspirer chez les juges la plus grande méfiance.
Ce n” est pas le cas ! pourquoi ? ne serions nous pas dans une société matriarcale ?
La chose qui doit inquiéter au plus haut point une bonne mère est l” absence du père dans la vie de son enfant. Un enfant a autant besoin de son père que de sa mère.
pensée évidente dans l” esprit du père, bien moins évidente dans l” esprit de la mère ! pourquoi ? triste indice de société matriarcale sans doute !
Heureusement sos papa veille à protéger l” enfant sur ce point capital !
j” aime autant mon père que ma mère et cette évidence de mon enfance m” a permis d” avoir une enfance heureuse, je tiens à remercier sos papa qui veille à protéger cette évidence (et donc le bonheur de nos futurs enfants) aujourd’hui remise en cause par le matriarcat.
Même le patriarcat n” a jamais porté atteinte au lien mère-enfant comme le matriarcat porte atteinte massivement au lien père-enfant.
Comment un parent (mère souvent) peut-il admettre de priver de son enfant l” autre parent qui travaille le plus clair de son temps pour payer les pensions alimentaires relatives à cet enfant ? il s” agit de chantage affectif, de violation des droits les plus élémentaires tant des droits de l” enfants que des droits de l” homme.
Illogisme grave du matriarcat aujourd’hui sans précédent historique.
En ce qui me concerne je souhaiterais pouvoir m” occuper des enfants à temps plein et que mon ex aille travailler avec une belle voiture et me paye des pensions alimentaires.
Je me sentirais très bien dans la peau d” une femme a tel point que si j” avais a choisir mon sexe j” aurais choisi d” être une femme tant à notre époque matriarcale qu” au époque antérieure ; ainsi je n” aurais pas courru le risque de devoir faire la guerre, travailler comme un boeuf et je me serais garantis un lien affectif avec mes enfants et avec mes petits enfants pour mes vieux jours ; ainsi très égoistement j” aurais choisi d” être une femme.
Vraiment je regrette d” être un homme et de devoir être un macho avec une belle voiture pour que les femmes daignent s » intéresser à moi !
En effet, je suis pauvre et ruiné à cause de mon ex ! et aucune femme riche ne s” intéresse à moi!!
je voudrais être une jolie pauvre femme (pas besoin de travailler pour avoir une belle carrosserie) et épouser un bel homme riche!!
jean-marie
Le parent qui réclame la garde des enfants et l” argent adopte un comportement égoiste suffisant et prétentieux (signe évident d” aliénation parentale) et devrait donc inspirer chez les juges la plus grande méfiance.
Vous pensez donc que les pensions sont une mauvaise idée ? Hum.
La garde principale au père ou la garde alternée sont une garantie pour l’enfant de conserver un lien fort avec ses deux parents, ce qui est le plus important pour l” enfant.
Ah ? Pourquoi la garde à un père garantirait plus la conservation du lien fort entre les deux parents qu’une garde à une mère ? Là ça me dépasse.
De manière générale, je défends ici l’idée que le plus important est de respecter les enfants, et non d’entrer dans un conflit financier et d’égo : ce qui compte, c’est leur bien-être, et c’est de minimiser les perturbations d’une séparation sur leur vie.
En ce sens, il est normal à mes yeux que ce soit le parent qui ai passé le plus de temps à s’en occuper avant la séparation qui s’en occupe après.
Si vous regrettez de ne pas vous être impliqués plus auprès de vos enfants avant votre séparation, sachez que vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous : ce n’est pas la société (qu’elle soit matriarcale ou patriarcale) qui a décidé pour vous de votre vie d’alors.
JM êtes-vous vraiment un homme ?
forfaiture semble bien porter son nom ! cela le derrangerait ‑il qu’un homme puisse porter autant de sensibilité et d’ouverture d’esprit qu’il ne le fait ?
Bonjour,
Si vous avez subi des atteintes à votre vie privée par cette association, me contacter à resistante@orange.fr.
à resistante…votre adresse ne semble pas valide (resistante@orange.fr)Pourriez vous vérifier SVP ?
Merci une maman2
Je réitère : pour tous problèmes recontrés avec cette association vous pouvez me contacter à : resistante1@orange.fr
SOS ! SOS ! SOS les papas ! Véronique Courjault est arrivée !
Au secours les enfants !
Je constate que le mauvais goût est encore de sortie…
A Forfaiture,
La raison habite rarement les âmes communes
La bête n’est peu être pas trop sotte, mais ce n’est qu’une bête….
forfaiture, ne seriez vous pas une femme ? .…ou non, plûtot un homme castré par sa mère ? …plein de haine masculiniste en tous les cas.….et de mauvais gout , certes…comme vous devez souffrir ! l
Forfaiture serait-elle Isabelle Morini Bosc de RTL ?
Vous disiez en réponse la semaine dernière à l’antenne que les âmes communes regardent prison breack.
Quel respect pour les plus de 6 millions de téléspectateurs dont je fais partie qui l’ont vus.
Isabelle Morini Bosc, Julien Courbet soutiennent sur leurs temps d’antenne les lobbyings de pères.
SOS Papa et toutes les nombreuses autres associations de pères résistent au tout pouvoir de la mère envers l’enfant, pour qu’elle ne soit plus systématiquement le parent principal, mais un des deux parents de l’enfant.
Résister , c’est opposer une force à une autre force, une dynamique, une action, c’est beaucoup plus que dire non, c’est s’indigner, c’est refuser, c’est agir pour faire évoluer les valeurs bafouées, c’est éveiller chez les autres le sentiment d’inéquité que dans notre société constitue l’exclusion inacceptable des pères en cas de séparation du couple conjugal, c’est revendiquer un besoin de plus de justice et fraternité parentale
Dès lors qu’il sera accepté dans le couple parental qu’en cas de séparation du couple conjugal, le père ait sa place , et qu’il ne soit pas systématiquement relégué au rôle de parent secondaire , l’objectif des associations de père disparaitra car bien souvent les adhérents de ces associations se placent au dehors des combats stériles, très « people » et sans lendemain des associations féministes et masculinistes.
Les mères ne sont pas seules détentrices de l’intérêt de l’enfant, elles peuvent même être dangereuses pour l’enfant, elles sont plus susceptibles de commettre un infanticide que les pères, et la violence maternelle envers les enfants est supérieure à celle des pères et augmente depuis plusieurs années, ce n’est pas SOS Papa qui le dit ‚mais les rapports du Snatem ( allo 119)
Ce qui est nouveau depuis peu, c’est que le sujet est de moins en moins tabou dans les média.
BRAVO BRAVO BRAVO…POUR VOTRE COURAGE, VOTRE BON SENS, VOUS ETES UN PAPA MA-GNI-FI-QUE PARCE QUE VOUS FAITES EN PRIORITE PASSER LE BIEN ETRE DE VOS ENFANTS,COMME LE FONT SOUVENT LES MAMANS. MERCI POUR L’EXEMPLE ET LE COURAGE QUE VOUS NOUS DONNEZ, MONSIEUR VOUS AVEZ TOUT MON RESPECT.
Carole : )
merci
heureuse qu’un papa souligne la dangerosité de cette association
je garde votre site en mémoire et je le relairai autant que possible
merci
A Lengler Jean-Marie » je voudrais être une jolie pauvre femme (pas besoin de travailler pour avoir une belle carrosserie) et épouser un bel homme riche!! »
Pffff , pôvre individu, vous vivez dans quel monde…quand vous supporterez TOUS ce que les femmes ont supportés et supportent encore de la société, mais aussi de certains hommes, ou au nom de cultures, vous viendrez chialer ici sur votre « statut » de mec. Vous feriez mieux de remercier cette femme qui vous a fait des enfants, qui ne sont pas là pour vous assurer un pouvoir (une fois de plus) mais qui doivent etre vos protégés en toutes circonstances. Les femmes ne sont pas vos ventres porteurs et les enfants vos otages!!!! VISIBLEMENT votre intelligence se limite à des « droits » et virent vite fait vos devoirs d’homme avec un grd H. Le grnd H c’est ce papa qui à le merite de l’avoir. Un homme respectable, ce qui n’est pas votre cas « vieux papa » comme vous dites…
En ce qui concerne la « parité » si cher à vos yeux, partager déjà cela, et je n’ose pas imaginer ce que serait la vie des meres si c’etait CES MESSIEURS qui prenaient en charge tout cela.
Y avait-il une parité homme-femme avant la séparation du couple ?
– pendant la grossesse ? Non
– lors de l’accouchement ? Non
– pour l’allaitement au sein ou au biberon toutes les 3 heures ? Non
– pour se lever la nuit ? Non
– pour cesser son travail lorsque l’enfant était malade ? Non
– pour s’occuper de ses vêtements (étendage, repassage, rangement) ? Non
– pour l’emmener ou aller le chercher à la crèche ou à l’école ? Non
– pour l’accompagner chez le médecin, l’orthophoniste, le coiffeur … ? Non
– pour acheter ses vêtements, ses chaussures … ? Non
– pour l’accompagner à des activités extra-scolaires ? Non
Notez bien que ces enfants malmenés ne VOUS AIMERONT JAMAIS ET SE SOUVIENDRONS DU MAL QUE CERTAINS PERES ONT FAIT A LEUR MERE.
» Les plus jeunes, outre des dysfonctionnements dans « l’attachement » à leur mère (dont on sait la gravité potentielle) outre tous leurs symptômes psychosomatiques, finissent, pour nombre d’entre eux, par souhaiter la mort de leur père :
http://www.lenfantdabord.org/len...
« Tant mieux si cette mouche elle meure, elle sera plus obligée d’aller chez son papa » (3 ans)
« Qu’est ce que tu as de la chance que ton papa soit mort » (Garçon de 6 ans et demi à une petite camarade dont le papa est mort d’une rupture d’anévrisme)
« Moi, je voudrais que papa y meure dans un accident » (5 ans)
« Achète moi une trousse de chimiste. Comme ça je pourrai empoisonner papa » (7 ans)
Bien sûr, tous ces enfants ne souhaitent pas la mort effective de leur père. Mais ils traduisent ainsi leur désir de voir cesser une situation trop, beaucoup trop lourde à supporter.
D’autres, nombreux, finissent, au fil du temps, par refuser totalement d’aller chez leur père, manifestant un profond rejet pour lui, mettant ainsi leur mère en grande difficulté.
D’autres, enfin, parlent de fugue, de suicide : ils ont 7, 8, 9 ans…
BRAVO pour ce beau résultat !!!
« Le lundi 16 octobre 2006 à 15:54, par Forfaiture
JM êtes-vous vraiment un homme ? »
Le plus bel hommage rendu à cet homme et à ce pere, c’est celui de la mere de ses enfants, et ça messieurs, ça vous laisse loin derriere, vous , votre égoisme, vos revendications de mecs frustrés qui tapent sur les plus faibles ; femmes et enfanst, au lieu de les proteger. Vous m’inspirez une répugnance certaine. Un jour vos enfants vous vomiront aussi…et là vous serez SEULS avec vos sales certitudes d’egoistes.
Et je crois que le pire ce sont ces femmes qui cautionnent ces dénaturés.
odine > il y a aussi des pères qui partagent avec leur compagne la vie quotidienne de leurs enfants. On ne peut pas non plus faire une généralité de tout.
Il y a aussi des enfants qui vivent bien la séparation de leurs parents (souvent quand ces derniers ont réussi à s’entendre) et qui n’ont pas peur d’aller chez le parent qui n’a pas la garde principale.
Bien sûr, il existe de nombreux cas douloureux, mais ce n’est à mon avis pas en donnant l’impression que ce problème est universel (dans le sens commun à toutes les familles) qu’on le résoudra.
Ce que j’ai voulu écrire ici, c’est que ce n’est ni à la mère ni au père d’avoir la garde principale, mais c’est à celui d’entre eux qui rendra la situation la moins contraignante pour les enfants. Il arrive souvent que ce soit la mère qui se retrouve dans cette situation, par manque de parité comme vous le décrivez, mais ce n’est pas quelque chose d’automatique.
L’agression verbale n’est jamais une solution pour être entendu et paraître crédible…
Oui je m’emporte désolée…mais j’ai bien du mal avec ce sujet quand je vois des cas d’enfants gravement atteints par la mechanceté de certains.
Et je sais aussi que certaines meres se rendent coupables de malversations de ce genre (pour moi kelke chose d’in-cro-yable).. mais je doute fort que ce soit la majorité, comme d’ailleurs le cas des peres qui se disent spolliés par les meres et qui devient aussi dans le discours actuel une généralité.
Sorry Jm, je m’emporte, je m’emporte…
un jour nous nous sommes separes, ma compagne a aussitot demandé sa mutation à 350 km de la et a emené notre fille de trois ans. Cette fille je l’aimais, je m’en occupais biberons, bains, etc.… du jour au lendemain je ne la voyais plus ; j’ai ramé des années pour maintenir le lien , au gré de mon travail je devais sauter dans des trains ou en voiture pour aller quemander un WE par ci par la. La mere avait la haute main sur tout et me le faisait sentir a toutes occasions. Petit a petit ma fille a commencé a me rejeter en public alors que nous avions de tres bons moments ensemble, je ne comprenais plus rien . Je suis tombé sur des sites qui expliquaient le SAP et j’ai vu la description par le menu de tout ce qui se passait . J’ai grace a cela pu agir année apres année pour essayer d’equlilbrer ce qui pouvait l’etre.
un beau jour je suis allé a une permanence de SOSpapa, j’ai été bien reçu et j’ai eu une vraie ecoute, quelques conseils je ne me suis pas senti poussé « au crime » par un lobby faciste…j’y suis retourné quelques fois et j’ai surtout vu des hommes a ramasser la petite cuiller, qui pleuraient parce qu’il n’avaient pas vu leurs enfants de puis des mois, parce qu’ils s’étaient vu interdire l’acces a leur appart par une compagne qui avait fait changer les serrures pendants qu’ils étaient au travail etc… combien sont de bonne foi combien sont de menteurs ? je n’en sait rien. Combien de mere sont a plaindre et combien sont de veritables brutes ? je n’en sais rien non plus . pour l’avoir vecu je sais que le malheur n’a pas de sexe que dans ces conflit c’est toujours l’enfant qui souffre le plus.
J’ai toujours evité de dire du mal de mon ex a notre fille, j’ai toujours essayé d’en faire une fille ouverte et autonome, qui sache affronter la vie et j’ai porté en silence le fardeau de la haine d’une femme que je ne deteste même pas . Aujourd’hui elle 16 ans et je crois que malgré les années noires elle s’en tirera bien ; elle m’aime et me le dit cela suffit a mon bonheur et a effacer les palies du passé.
J’aimerais voir un peu plus de modération dans le propos ici et un peu de respect pour tous les parents hommes et femmes qui souffrent d’être loin de leurs enfants. Un soupçon de comprehenssion pour ce qu’ils font pour se defendre et defendre le bien de leur enfant même s’ils sont maladroits et parfois criticables.
SOS Papa et toutes les nombreuses autres associations de pères résistent au tout pouvoir de la mère envers l’enfant, pour qu’elle ne soit plus systématiquement le parent principal, mais un des deux parents de l’enfant.
Résister , c’est opposer une force à une autre force, une dynamique, une action, c’est beaucoup plus que dire non, c’est s’indigner, c’est refuser, c’est agir pour faire évoluer les valeurs bafouées, c’est éveiller chez les autres le sentiment d’inéquité que dans notre société constitue l’exclusion inacceptable des pères en cas de séparation du couple conjugal, c’est revendiquer un besoin de plus de justice et fraternité parentale
Dès lors qu’il sera accepté dans le couple parental qu’en cas de séparation du couple conjugal, le père ait sa place , et qu’il ne soit pas systématiquement relégué au rôle de parent secondaire , l’objectif des associations de père disparaitra car bien souvent les adhérents de ces associations se placent au dehors des combats stériles, très « people » et sans lendemain des associations féministes et masculinistes.
Les mères ne sont pas seules détentrices de l’intérêt de l’enfant, elles peuvent même être dangereuses pour l’enfant, elles sont plus susceptibles de commettre un infanticide que les pères, et la violence maternelle envers les enfants est supérieure à celle des pères et augmente depuis plusieurs années, ce n’est pas SOS Papa qui le dit ‚mais les rapports du Snatem ( allo 119)
Ce qui est nouveau depuis peu, c’est que le sujet est de moins en moins tabou dans les média.