Urbouge

Dans un pré­cé­dent billet, j’é­vo­quais l’i­dée que l’on peut ne pas céder au « besoin de par­tir en vacances » que l’on nous dif­fuse un peu par­tout. J’é­vo­quais dans ce billet le fait que l’on puisse explo­rer les acti­vi­tés de loi­sir pro­po­sées près de chez soi. Mais peut-être cer­tains pré­ten­drons qu’ils connaissent leur région comme leur poche, et que fina­le­ment, ils ont besoin d’un nou­vel air.

Pour ma part, je suis loin d’a­voir fait le tour de la ville que j’ha­bite, et de sa région. Les tou­ristes de pas­sage arpentent les rues et les che­mins en cap­tu­rant mille et un cli­chés des monu­ments et sites répu­tés, mais quid des petites curio­si­tés, nichées ici ou là ?

En cette période esti­vale, j’ai choi­si de me pro­me­ner avec un appa­reil pho­to, pour mon­trer les côtés mécon­nus de la ville, pour par­ta­ger les curio­si­tés archi­tec­tu­rales, les décors de vie que j’aime bien. C’est aus­si l’oc­ca­sion pour les cler­mon­tois de pas­sage ou de rési­dence de tes­ter leurs connais­sances : sau­rez-vous retrou­ver où ont été prises ces pho­tos ?

Bonne visite sur mon nou­veau blog-pho­to urbouge !


urbouge : n.m. mot-valise consti­tué des noms « urbain » et « bouge ».

  • urbain : adj. Qui appar­tient à la ville.

    • La vie urbaine dépé­rit et, comme la civi­li­sa­tion isla­mique médié­vale était elle-même essen­tiel­le­ment urbaine et que la richesse maté­rielle dépen­dait du com­merce, la pros­pé­ri­té décli­na. — (P.J. Vati­kio­tis, L’Is­lam et l’É­tat, 1987, tra­duc­tion de Odette Gui­tard, 1992).
  • bouge : n.m. Loge­ment obs­cur et malpropre.

    • Il ne me faut tant de céré­mo­nies ; Je suis content de mon bouge, et les dieux Dans mon tau­dis m’ont fait un sort tran­quille. — (Vol­taire, La Bastille).