C’est en lisant le billet de bobuse sur son nouveau rasoir que j’ai moi aussi eu envie de parler de mon rasoir… Comme lui, je n’utilise pas non plus de rasoir jetable (sauf dans de rares exceptions). J’utilise un rasoir à lames, de ces bonnes vieilles lames que les dangereux gangsters des films manient avec dextérité pour commettre leurs méfaits.
Ce rasoir a pour moi une valeur particulière : c’est le rasoir que mon père utilisait quand il était jeune, avant de porter la barbe. Il l’avait gardé, mais ne s’en servait plus. Entre deux utilisations de rasoirs jetables, j’ai commencé doucement à l’utiliser, puis je l’ai adopté. Il est un peu plus évolué que celui de bobuse, car il n’y a pas besoin de tournevis pour l’ouvrir : la partie inférieure du manche est une vis qui fait s’ouvrir le rasoir en haut (voir la dernière photo du billet). De la même manière, une bague numérotée de 1 à 9 sur le manche, auprès de la lame, permet de régler la tension de la lame, ce qui rend le rasage plus ou moins souple.
J’ai aussi profité de ce billet pour utiliser le logiciel qtpfgui, qui propose plusieurs algorithmes de bracketing (voir un précédent billet à ce sujet). Je ne sais pas comment vous trouvez ces photos, mais j’en suis assez satisfait, pour des photos prises à la lumière artificielle…